TPE 2003-2004 Lucie Zongo - David Jacquot Le carbone 14 et le Saint-Suaire de Turin.
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Annexe 7 : Illustration du caractère
tridimensionnel de l'empreinte du Saint-Suaire
Un français, Paul Gastineau, avait déjà eu en 1973 l'intuition que les variantes d'intensité de l'image imprimée sur le Saint-Suaire pourraient encoder la distance entre le linge et la peau du supplicié. Il avait donc, à l'aide d'un lecteur laser, couplé un microdimensimètre à un stylet électrique graveur pour prendre la mesure de l'intensité lumineuse de chaque point du visage. Les images obtenues sont donc tout à fait remarquables puisque tridimensionnelles. De plus, l'image du Saint-suaire à d'autres propriétés surprenantes : l'impression même de cette image n'a jamais pu être expliquée, et les traces de toutes les formes connues de falsifications de ce genre (peinture, vaporisation, poudres, attaques à l'acide...) ont été recherchées, sans succès.
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